Au coeur du Beaujolais Le Château de l’Éclair dispose d’une cuverie expérimentale. Avec l’aide de SICAREX Beaujolais et de l’Institut français de la vigne et du vin (IFV), il travaille constamment à améliorer la qualité des vins et des pratiques viticoles. Depuis 2 ans avec l'application VINISCAN le domaine teste des qrcodes et fait évoluer ses étiquettes sur ses bouteilles de vin pour la conformité Européenne de l'étiquetage nutritionnel du vin.
Certifiés Terra Vitis depuis 2014, le Château l'Éclair pratique une production raisonnée, respectant l’équilibre entre la plante, le sol et le climat. Depuis 2018, il adopte une démarche de responsabilité sociétale (RSE), visant l’exemplarité pour ses clients et parties prenantes. Un engagement à préserver la nature, protéger les personnes, pérenniser l’entreprise et partager ses valeurs. En 2019, il obtient la certification HVE et depuis 2020, il converti ses vignes, 20 hectares de vignes en Gamay, Chardonnay, Muscat et Gamaret réparties sur plusieurs communes dans le secteur des Pierres Dorées au sud du Beaujolais, à l’agriculture biologique.
"5 contre-étiquettes de vin différentes en un an pour coller à la nouvelle réglementation"
Responsable commerciale du château de l’Eclair dans le Beaujolais, Fanny Courtial retrace son expérience de l’étiquetage obligatoire des ingrédients dans un webinaire à regarder en replay sur la chaine de Vitisphere.
Nous apposons un QR Code sur toutes les contre-étiquettes de notre beaujolais depuis l’été 2023 » raconte Fanny Courtial, responsable commerciale du Château de l’Eclair, lors du webinaire sur la déclaration nutritionnelle et l’étiquetage des ingrédients.
Après avoir testé les solutions proposées différents opérateurs, « petits, gros, nouveaux, ou déjà bien implantés sur le marché », le domaine a choisi la solution de la filière viticole Française VINISCAN. « Cette application garantit la protection des données des consommateurs et l’accès aux informations sur le vin quelle que soit sa durée de vie. Elle traduit aussi automatiquement la liste des ingrédients dans la langue du pays dans lequel le QR Code est scanné » justifie Fanny Courtial.
En un an, la responsable commerciale a fait imprimer 5 contre-étiquettes différentes. « Nous avons modifié le QR à chaque précision de la réglementation » explique-t-elle. Dans sa dernière version, le QR Code n’intègre plus de petit « i ». Il est chapeauté par les termes « Ingrédients et nutrition », comme demandé par la DGCCRF dans son guide paru ce mois de juin.
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